Aujourd'hui, un consensus implicite commence à être adopté : la finance conventionnelle héritée du passé doit être complétée par une finance durable, celle d’aujourd’hui et de demain. Il s’agit d’une rupture dans un monde financier de plus en plus complexe mais en préservant les instruments d’évaluation offerts par le marché.
La finance durable c’est aussi un engagement pour plus de proximité avec les personnes et la non exclusion de la finance conventionnelle. En substance, la finance durable élément centrale de la RSE, est une finance dont l’objectif est de mettre fin à certains péchés capitaux à l’origine de la crise de 2007. Parmi ces péchés on peut citer : les conflits d’intérêts, la complexité des produits financiers, le manque de transparence, la démesure et les excès en matière de profit et surtout la courtermisme des acteurs.
Pour avancer concrètement dans cette nouvelle voie il est nécessaire d’élaborer les bons indicateurs de performance. Cette performance dite durable concilie des critères financiers et extra financiers. C’est le but des travaux de recherche de l’Observatoire international de la finance durable de SKEMA, dont l’essentiel des résultats seront présentés lors de cette conférence par Dhafer Saidane, son Directeur.
En 2ème partie de la conférence, Philippe Kunter présentera les outils mis en place par Bpifrance.
RDV le 27 mars à Paris de 8h00 à 10h00
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