Sur le classement des BBA qui a été conservé, SKEMA se classe 2e meilleure école et gagne même 2 places par rapport au classement de l’an dernier !
Bridie, tout juste diplômée explique pourquoi elle s’est tournée vers le Global BBA de SKEMA : « j’avais envie d’entrer très vite dans le vif du sujet, de faire des stages, d’aller voir à l’étranger, de me faire une expérience sur place et je me suis tournée vers l’option la moins fermée possible et qui me permettait de me spécialiser en dernière année ».
Dans un rédactionnel qui explore « l’école du futur » et la manière dont les écoles de management s’emparent du distanciel, SKEMA se distingue pour ses innovations pédagogiques citées à plusieurs reprises. La rédaction a assisté à un cours en « live » de Jean-François Detout pris en photo donnant un cours depuis le studio d’enregistrement qu’il a installé chez lui.
« Lorsqu’on est face à une trentaine de regards interrogatifs, ou manifestement ailleurs, il est facile de jouer sur sa voix, de raconter une anecdote ou de lancer une question pour regagner l’attention des élèves. Mais à distance on n’a pas ce langage non verbal. On ne sait pas quand un étudiant n’a pas compris, n’a pas entendu ou est en train de décrocher. D’où la sensation de donner des cours « à l’aveugle », explique-t-il. L’article rapporte que Jean-François Detout a interrogé ses 200 élèves et qu’un quart d’entre eux poursuivraient même les cours « les mieux faits » en 100% distanciel s’ils avaient le choix.
Vaitea Jacquier, Manager en design pédagogique à SKEMA, analyse de son côté que « contrairement à d’autres parcours, le management se prête particulièrement bien au modèle distanciel. Ce modèle est même presque un plus pour les cours de gestion de projets ou très axés vers le numérique car les diplômés seront amenés à travailler à distance ».
Caroline, étudiante du Programme Grande Ecole à SKEMA, précise que le distanciel a su (re)créer l’esprit de promotion : « les travaux de groupe, les tchats en ligne, les conversations WhatsApp contribuent beaucoup à rendre nos journées plus attractives. Je n’ai pu voir mes camarades qu’une semaine en octobre avant la reprise des cours à distance, mais aujourd’hui il y a un vrai esprit de classe entre nous ».