A l’instar de la lutte contre le réchauffement climatique, le knowledge management s’inscrit, bien souvent, dans une logique du temps long. Il repose, à la fois, sur la collecte capitalisée des connaissances, dans le but de favoriser notamment le recensement et l'analyse des expériences, sur le développement des compétences et surtout sur l'identification de nouvelles connaissances liées à l'évolution de l'environnement.
Par bien des aspects, le Knowledge management doit permettre à une organisation de gagner du temps et de la productivité, en évitant de refaire des travaux inutiles. Le knowledge management doit également permettre d’éviter de commettre des erreurs, qui peuvent se traduire, in fine, par des retards, la perte d’un client ou par la dégradation de l’image d’une organisation, voire mettre en péril sa survie.
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Pour évoquer ces sujets, trois tables rondes sont proposées aux participants par Cop-1 : « Le KM pour l’efficacité opérationnelle », en présence de Virginie Verdiere, responsable innovation RH chez Engie, « Le KM pour une efficacité durable », avec la présence de Raphael Monnot, Principal / Adoption and Change Management Global Practice, chez Microsoft et enfin « Conjuguer le futur au présent », avec Dominique Vian, professeur d’entrepreneuriat à SKEMA. La matinée s’achèvera par un cocktail networking.
Contact : Laurence Descos